La structure transparente du bâtiment industriel de la société Ryhove est clairement lisible. Un exosquelette de colonnes et de poutres en béton préfabriqué est apparent et couronné par une série de toits à pignons. Ces derniers sont constitués de poutres en bois et de dalles de CLT, qui sont également visible. Pour l'ingénieur en stabilité, un exosquelette implique un jeu de positionnement de ruptures thermiques structurelles et des effets de charges supplémentaires qui vont avec. Le rythme des toits à pignons, qui suit la logique du contexte, est une anomalie pour les portées pratiques nécessaires, par exemple pour les passages pour véhicules. Elle se poursuit dans toute la structure et s'articule, par exemple, dans la forme particulière des charpentes, qui résulte du fait qu'il n'était pas possible de placer un support dans chaque point bas des toits à pignon.